Marjorie Naturopathie (e.i)


Hygiéniste - Naturopathe à Chaponost (Rhône)
Accompagnement des douloureux chroniques


 


Hygiéniste - Naturopathe à Chaponost (Rhône)
Accompagnement des douloureux chroniques


 
Marjorie Naturopathie (e.i)

Endométriose : comment accompagner les femmes naturellement ?


165 vues

Il y a trois termes qui mérite d’être expliqués :

Le Vidal définit ainsi l’endométriose : « maladie gynécologique qui se caractérise par la présence anormale dans la cavité abdominale, de fragments d’endomètre, la muqueuse qui tapisse l’intérieur de l’utérus. »

L’endométriome est une tumeur bénigne faite d’éléments épithéliaux et conjonctifs, identiques à ceux de l’endomètre, et qui se développent en dehors de l’utérus.

L’adénomyose  est de l’endométriose interne à l’utérus.

1- En quoi l'endométriose est-elle une pathologie hormono- dépendante?

De la puberté jusqu’à la ménopause, la femme, chaque mois à ses règles. Le sang qui s’écoule ainsi est composé de fragments d’endomètre qui s’écoulent quand il n’y a pas de fécondation.

Dans l’endométriose, on a des cellules de l’endomètre qui vont migrer dans des organes périphériques (colon, trompes de Fallope, vessie, poumon, intestin…).

Le problème est  que ces cellules, dans l’endométriose, vont garder leurs propriétés hormono-dépendantes, et saigner à chaque cycle, provoquant de violentes douleurs. Elles vont aussi réagir aux hormones qui jalonnent le cycle de la femme (œstrogènes et progestérone).

Le sang ne va pas s’écouler normalement, il va provoquer des irritations et de l’inflammation au niveau des organes, jusqu’à créer des adhérences entre les organes, voir des occlusions, comme celles des trompes de Fallope. Cela entraîne des douleurs, dans un premier temps cycliques, puis chroniques, avec une perte de mobilité de ces organes.
 

Les cellules de l’endométriose peuvent aussi toucher certains nerfs, et générer des douleurs insoutenables, qui finissent par devenir des douleurs neuropathiques.

Si le sang stagne dans l’utérus, cela peut provoquer des kystes dit « chocolat » : ce sont des cavités remplies de sang coagulé qui ne peut pas s’échapper et forme donc un kyste.

L’endométriose toucherait 190 millions de femmes dans le monde, dont 2 millions en France, soit plus d’une femme sur 10. On retrouve cette prévalence des chiffres dans le Syndrome des Ovaires Polykystiques(SOPK).

2- Quels sont les principaux signes des symptômes de l’endométriose ?

On retrouve :

  • Les règles extrêmement douloureuses, voir hémorragiques avec des douleurs qui sont parfois comparées à celles ressenties lors d’un accouchement.
  • Des crampes menstruelles
  • Des douleurs pendant les rapports sexuels
  • Des troubles intestinaux (syndrome de l’intestin irritable) à cause de la proximité entre l’endomètre et les intestins.
  • Des douleurs à la défécation

 

  • Les douleurs neuropathiques
  • Nausées, vomissements, évanouissements
  • Fatigue intense

Un cycle ordinaire n’est pas censé provoqué ce genre de symptômes. Si une femme ressent ces symptômes, elle doit consulter son gynécologue, ou un professionnel de santé.

3- Quelles sont les causes de l’endométriose ?

Plusieurs théories sont avancées :

  1. La théorie du flux rétrograde : il y aurait un reflux du sang des règles vers les trompes qui entraînerait des cellules endométriales par les trompes, vers la cavité abdominale. Cela engendrerait des lésions. On sait aujourd’hui que 90% des femmes auraient des reflux rétrogrades, mais 90% des femmes ne sont pas atteintes d’endométriose. Donc, il y aurait d’autres causes pour que ces cellules s’implantent.
  2. La déficience immunitaire du système immunitaire de certaines femmes, qui expliquerait que les cellules égarées ne seraient pas repérées par l’organisme, et donc, qu’elles ne seraient pas détruites.
  3. La théorie métaplasique : il s’agit du tissu embryonnaire qui se transforme en péritoine pendant la phase du développement du fœtus. Cette théorie a été avancée lors de la découverte de lésions d’endométriose, chez des nourrissons décédés de mort subite (travaux du docteur Redwine).
  4. Théorie lymphatique : elle rejoint la théorie du système immunitaire.
  5. La théorie génétique : il n’est pas rare de retrouver au sein d’une même famille des femmes qui ont souffert d’endométriose. Toutefois, cette prédisposition n’est pas non plus une fatalité, car il y a des clés au niveau de l’hygiène de vie, pour agir sur ces facteurs.

D’autres théories sont aussi à l’étude, comme les métaux lourds, les toxiques, les perturbateurs endocriniens

On pense donc qu’il y a une accumulation de différentes causes qui sont à l’origine de l’endométriose.

4-Comment diagnostiquer l’endométriose ?

Plusieurs examens médicaux sont nécessaires pour diagnostiquer cette maladie :

  1. L’auscultation faite par un médecin gynécologue avec une échographie endo-vaginale, si cet examen n’est pas concluant, une prescription pour des examens d’imagerie médicale (IRM, Scanner) sont alors prescrits.

 

2. Si des prélèvements doivent être faits, ou si on doit retirer certains foyers, la laparoscopie et la cœlioscopie sont alors nécessaires. Ils vont alors permettre de confirmer le diagnostic médical, si l’imagerie médicale n’a pas été suffisante, et ils vont permette de faire des biopsies ou des prélèvements.

Deux constatations vont alors être faites, en fonction de l’âge de la femme :

  • chez la femme jeune, ce sera l’endométriose,
  • et chez la femme de 30-35 ans, ce sera l’adénomyose.

5-En quoi consiste la prise en charge médicale ?

Les objectifs sont multiples :

  • Supprimer des règles,
  • Bloquer l’ovulation
  • Retirer les implants endométriosiques
  • Soulager les symptômes

Les médecins proposent alors :

  • Des antidouleurs (antalgiques, anti-inflammatoires)
  • Des traitements hormonaux (pilule contraceptive)
  • Les antagonistes de la GnRH (anti œstrogènes pour créer une ménopause artificielle, mais il y a des effets secondaires, donc ce n’est pas une solution à long terme).
  • La chirurgie : qui permet de supprimer certaines lésions, mais qui contient un risque de dissémination
  • L’hystérectomie dans les cas d’adénomyose, mais qui ne supprime pas le problème de l’endométriose.

Il faut compter 5 à 7 ans, et même jusqu'à 10 ans pour avoir une pause de diagnostic, ce qui est beaucoup trop long ! Les femmes espèrent que la reconnaissance récente de cette maladie par l’Etat, fera changer les choses, et permettra une meilleure formation des professionnels de santé, ainsi qu’une vision autre de la femme, qui est souvent considérée comme trop sensible à la douleur.

6- Comment impacte l'endométriose sur la vie des femmes?

C’est un sujet souvent très sous estimé, alors qu’il est majeur. L’endométriose touche à tous les domaines de la vie de la femme.

Cela commence souvent par le bien être général de la femme. La confiance en soi, et l’image de la femme se trouvent mis à mal par les douleurs qu’elle vit. Par effet domino, cela se retrouve dans la vie familiale des femmes,  puisque les femmes sont moins disponibles pour leur vie de famille, elles se retrouvent clouées au lit par des règles et des douleurs affreuses, qui nuisent finalement à qualité de vie de tous. Elles se sentent coupables de cette situation.

La vie de couple est impactée d’autant plus, si les rapports sexuels sont source de douleurs pour la femme, qui les redoutes, le fait de ne pas savoir si elle pourra tomber enceinte.

L’endométriose entraîne aussi un poids sur la vie professionnelle, puisque les femmes sont souvent absentes à cause des règles hémorragiques, et des douleurs. Les femmes n’ont pas à évoquer leur état de santé avec leur employeur, toutefois, elles peuvent contacter la médecine du travail pour en parler, et voir comment aménager leur poste de travail et leurs obligations. Dans les formes les plus lourdes de l’endométriose, les femmes peuvent demander une RQTH.

Au niveau de la fertilité, on a des études qui nous montrent que dans 60 à 70% des cas d’endométriose, les femmes ont pu avoir un enfant naturellement.

7- L’endométriose, l’affaire de tous !

L’équipe médicale pluridisciplinaire (médecin généraliste, gynécologue, radiologue, sage-femme…) suit les femmes atteintes d’endométriose. Mais à côté d’une prise en charge allopathique, la prise en charge en naturopathie et par d’autres techniques (ostéopathe, kiné, psychologue…) doit aussi être envisagée, à titre de complémentarité. A noter aussi pour les adolescentes, la présence des infirmières scolaires, et du médecin scolaire sont aussi importants.

En 2015, les chercheurs de l’université d’Oxford avaient mis en lumière un gène et un chromosome responsable de l’endométriose. Cela laisserait espérer la mise en place d’un traitement non hormonal.

En 2021, des Français ont mis au point un test salivaire fiable à 95% pour repérer l’endométriose. Cela pourrait transformer la pose du diagnostic, mais le test n’a pas encore reçu les autorisations de mise sur le marché.

8- Quelles solutions naturelles complémentaires peuvent être envisagées ?

Pour envisager des solutions naturelles, deux axes de travail sont priorisés : le soulagement de la femme à court terme, et puis, son soulagement à moyens et longs termes, en travaillant sur le terrain.

L’alimentation joue un rôle fondamental, ainsi que la gestion du stress et des émotions.

A court terme  les objectifs sont les suivants :

  • Soulager les règles douloureuses,
  • Soulager les règles hémorragiques
  • Soulager les crampes
  • Soulager l’inflammation

Pour soulager les règles douloureuses:

  • le framboisier est la plante de la femme de la puberté à la ménopause. C’est une plante qui régule les périodes de règles et les changements hormonaux de la vie de la femme. C’est un antispasmodique utérin, elle tonifie et décontracte les muscles de l’utérus, elle régulerait aussi les sécrétions hormonales en agissant sur les douleurs liées au cycle menstruel. On peut l’utiliser en gemmothérapie, toutefois, il ne doit pas être utilisé chez la femme enceinte ou chez la femme ayant des antécédents de cancer féminin.
  • L’achillée Millefeuille est active sur les déséquilibres hormonaux à tous les âges de la vie de la femme.
  • Elle agit sur les douleurs menstruelles, les douleurs pelviennes, elle régule les taux d’œstrogènes et de progestérone, et de fait, permet un meilleur équilibre hormonal.

Le magnésium agit quant à lui sur tout ce qui est nerveux, les contractions musculaires, il relaxe les muscles.

La réglisse qui n’est pas à prendre en cas d’hypertension artérielle,  a une action anti inflammatoire et peut s’avérer intéressante quand il y a des soucis digestifs associés.

Le CBD est une alternative douce (sauf dans les cas de problématique hépatique existante).

C’est la forme sublinguale en macérât huileux qui est la seule à conseiller. Il prévient la migration cellulaire, il soulage la douleur et les états nauséeux, il calme aussi les états anxieux. Il a une action à large spectre.

Les crampes menstruelles:

Pour les soulager, on va retrouver l’intérêt du magnésium (on choisira le magnésium bysclinate qui est la forme la plus biodisponible), et de l’achillée Millefeuille.

Les huiles essentielles de basilic Tropical et d’Estragon, qui vont pouvoir être appliquée en massage après dilution à 10% dans une huile végétale (comme l’amande douce). On fera un essaie préalable sur la peau pour voir si celle-ci est réactive. Après le massage, on posera une bouillote chaude sur la zone pour détendre et ouvrir les pores pour faciliter l’action des principes actifs.

Une huile essentielle doit être biologique. L’huile essentielle de viorne a une action antispasmodique, elle décontracte les muscles lisses et peut être ajoutée.
 

Les règles hémorragiques

On pourra utiliser la Bourse à Pasteur qui a une action hémostatique, l’hamamélis qui agit quand à elle  sur la décongestion du petit bassin, elle est aussi un hémostatique plus léger que la Bourse à Pasteur. L’ortie est qui une plante reminéralisante par excellence, elle est aussi anti inflammatoire, et c’est un grand protecteur rénal.

Le fer et la transferritine (réserve de fer), sont à faire surveiller très régulièrement dans le cas de règles hémorragiques. La supplémentation en fer ne pourra être mise en place qu’après ces dosages, car il est aussi pro-oxydant. Le fer est un macro oligoélément. Il a pour rôle le transport de l’oxygène, il est indispensable à la formation de l’hémoglobine. Une pâleur, un essoufflement, une fatigue inhabituelle, des maux de tête, cheveux secs, ongles cassants, peuvent être des signes d’une carence en fer.

L’inflammation

Le zinc joue un rôle important dans l’immunité, et permet de faire baisser l’inflammation chronique.

Les omégas 3 EPA-DHA  sont on le sait, impliqués dans la régulation de l’inflammation. On peut en retrouver dans l’alimentation comme dans les petits poissons gras (maquereaux, sardines..). Les personnes sous anticoagulants ou fluidifiants sanguins ne prendront pas d’EPA-DHA.

La curcumine  est anti inflammatoire, antalgique, a aussi un rôle sur la régulation des œstrogènes. Attention si vous avez une maladie du foie, des calculs biliaires, si vous êtes sous anticoagulants ou antiplaquettaires: le curcuma en prise alimentaire, ou phytothérapique, peut s'avérer aussi puissant que l'Atorvastatine. Dans ce cas, un avis médical est conseillé.

On retrouve aussi la réglisse, et aussi la vitamine D pour son action sur l’immunité et l’inflammation. Le bourgeon de cassis est un cortisone-like, mais aussi un puissant anti-inflammatoire naturel, c’est aussi un bourgeon tonique, qui, lors des cures, sera à prendre avant 17H.

 

Le cas du Gattilier :

On connaît "l'arbre à poivre" depuis l'Antiquité Grecque. Dioscoride, un médecin grec mentionnait ses propriétés dans ses écrits. C'est une plante beaucoup utilisée dans l'accompagnement du Syndrome Pré-Menstruel qui touche 75% des femmes, et dans les symptômes de la pré- ménopause et de la ménopause. En effet, son action est dite "progestérone-like", et est reconnue par l'OMS. Il agit sur:

  • les spasmes douloureux de l'utérus,
  • sur les douleurs mammaires,
  • sur les douleurs au niveau du bas du ventre,
  • sur l'irritabilité,
  • les insomnies,
  • sur les cycles menstruels douloureux et irréguliers.

 

Les effets bénéfiques du gattilier se font ressentir après plusieurs mois d'utilisation. Il ne faut pas le prendre dans les cas suivants:

  • grossesse
  • protocole de FIV
  • utilisation déjà de traitements hormonaux de substitution.
  • Dans le cas du Syndrome des Ovaires Polykystiques, un dosage de FSH et de LH sera recommandé, et le gattilier ne sera jamais conseillé en première intention.

La prise de gattilier peut entrainer des maux de tête, des troubles digestifs, des nausées ou des allergies: d'où l'intérêt de faire une anamnèse avant de le prendre pour voir si cette plante vous correspond.

9- Comment faire pour soulager l’endométriose à moyen et long terme ?

Cela repose sur les 3 piliers qu’on retrouve en naturopathie :

  1. L’alimentation : on est ce que l’on mange, mais on est surtout ce que l’on digère. Pour cela, l’alimentation anti-inflammatoire reste la base.

 

Elle permet d’agir sur les poussées inflammatoires et de les réguler, tout en optimisant la digestion et en réduisant les problématiques digestives. En supprimant les aliments pro inflammatoires, on va réguler le système immunitaire, réguler la glycémie, mais aussi on va favoriser une détox douce qui va soutenir la fonction hépatique. L’alimentation hypotoxique est donc à conseiller : elle permet d’apporter les fruits et légumes frais, des huiles 1ères pression à froid donc des bons omégas 3, elle supprime les aliments pro inflammatoires, et allège le travail des organes comme le foie. Elle va permettre de travailler sur l’inflammation et de la réduire. Elle agit sur l’acidité du corps et sur la porosité intestinale, donc elle a une action sur notre microbiote. Le microbiote contient de l’estobolome qui modifie le métabolisme des œstrogènes, et qui impacte sur la régulation de l’inflammation. Il contient des probiotiques L-Gasseri dont l’efficacité à été démontrée dans la réduction des lésions de l’endométriose et dans la guérison de ces  dernières.  Un microbiote sain est donc d’une importance capitale aussi dans l’endométriose.

La gestion du stress :

Le stress peut accentuer les symptômes de l’endométriose et l’endométriose entretien un climat de stress. Le cortisol qui est une hormone secrétée par les surrénales qui, lorsqu’il est déséquilibré peut perturber l’équilibre de la progestérone et des œstrogènes. Le cortisol sanguin et urinaire se dose. S’il y a un déséquilibre, on peut mettre en place des plantes adaptogènes comme l’ashwaganda , des huiles essentielles par voie olfactives, comme la lavande fine, et le CBD. Certains bourgeons en gemmothérapie pourront aussi s’avérer intéressants.

L’activité physique :

Le monde moderne fait que nous sommes de moins en moins actifs, alors que l’activité physique est primordiale. Dans l’endométriose, ce qui est important c’est de travailler l’axe pelvien afin de réduire la congestion dans cette zone, de favoriser la souplesse, de diminuer le stress, d’avoir une action sur la fatigue, d’apporter de l’oxygène aux tissus,  et de stimuler la digestion. La marche, la natation, le yoga, la danse orientale, vont dans ce sens.

La magnétothérapie peut aussi accompagner les femmes naturellement au quotidien : il existe aujourd’hui des aimants qui peuvent être clipsés sur les sous-vêtements. Ils vont avoir une action anti-inflammatoire et déstressante sur la zone pelvienne et sur les contractions utérines.

Les fleurs de Bach pourront aussi être incluent dans le parcours des femmes, pour les aider à mieux gérer leur stress.

Les médecins pourront proposer aussi la venue dans les cures thermales, dont certaines ont des actions spécifiques.

On sait que les eaux auront une action anti-inflammatoire et que ces périodes permettent aussi de mieux gérer le stress.

Les bénéfices peuvent se ressentir sur plusieurs mois. Une éducation alimentaire peut aussi être proposée.

10- Et pour conclure?

L’endométriose est désormais reconnue par l’Etat, ce qui est une bonne chose pour les femmes, qui en souffrent. L’endométriose est une pathologie compliquée, qui nécessite une prise en charge pluridisciplinaire, ou la prise en charge par un naturopathe a du sens, et à toute sa place. Je rappelle que:

  • Les conseils d’un naturopathe ne se substituent pas aux traitements médicaux,
  • Le naturopathe n’est pas habilité à poser un diagnostic.
  • Les compléments alimentaires mentionnés ne sont pas bons pour toutes. Le conseil doit être personnalisé lors du bilan vital : le naturel peut s’avérer être dangereux, pour les personnes, qui ne le connaissent pas assez.

N’hésitez pas en m’en parler.


Lire les commentaires (0)

Articles similaires


Soyez le premier à réagir

Ne sera pas publié

Envoyé !

Derniers articles

Conseils naturels pour mieux gérer la prise de poids, dans l'endométriose

Chili con carne: profitez des bienfaits des haricots rouges!

Spondylarthrite ankylosante: est-ce possible d'avoir une vie sexuelle épanouie?

Catégories

Réalisation & référencement Simplébo

Connexion

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'installation et l'utilisation de cookies sur votre poste, notamment à des fins d'analyse d'audience, dans le respect de notre politique de protection de votre vie privée.